L’importance de la
religion et la raison et leur relation avec la justice humaine dans le
livre « l’étrangère » d’Albert camus.
ORTIZ CALDERON leney
Xiomara
1093765896
Cours de littérature
francophone
Professeur :
SARMIENTO SEQUEDA Favio
Université de Pamplona
Nord de Santander
June 2016
TABLE DES MATIÈRES
1. PRESENTATION ……………………………………………………………………3
2. INTRODUCTION: …………………….…………………………………………….5
3. DEVELOPPEMENT
……...………………………………………………………..12
4. CONCLUSIONS ………….……………………………………………………….13
5. REFERENCES………………………………………………………………………14
L’importance de la
religion et la raison et leur relation avec la justice humaine dans le
livre « l’étrangère » d’Albert camus.
Depuis
l’avènement de la raison chez l’homme, l’humanité, les valeurs et les
fondements ont évolués à travers le temps. Tout d’abord, l’homme s’appuya sur
la raison de l’autorité. Il était dicté par une autorité supérieure. Suite à la
première guerre mondiale, l’homme sait qu’il a une emprise totale sur sa vie et
ses actions. Vint, au milieu du 20eme siècle, en France, le courant de
l’existentialisme. Une période où l’homme sait qu’il peut penser ce qu’il veut
et agir selon sa propre volonté. Ce courant influence le roman français. Camus,
auteur français, écrit l’Étranger durant cette période. Dans le texte qui suit,
on vous démontrera sous plusieurs angles que le personnage de Meursault est un
antihéros existentialiste par son authenticité en premier lieu, ainsi que par
sa révolte contres a mort imminente et absurde.
Meursault est un
personnage allant à l’encontre de ce qu’est un héros extraordinaire idéal par
son manque sincère d’intérêt pour ce qui l’entoure. Le personnage vit contre
les idéaux de la société, étant d’amplifier ses sentiments. Autrement dit, un
jeu auquel on participe inconsciemment tous les jours pour se simplifier
l’existence. Meursault, lui, reste fidèle à ses perceptions et s’efforce de
dire ce qu’il ressent en toute franchise ce qui peut souvent être choquant.
Lorsqu’on lui demande s’il regrette d’avoir tué l’arabe, il répond « Plutôt que
du regret véritable, j’éprouvais un certain ennui.[1]
». C’est cette nuance un peu trop honnête et inattendue qui le condamne. Les
êtres responsables de son jugement auraient voulu entendre une désolation profonde
de sa part.
Quand on parle
de raison on faire référence à la
faculté propre à l’être humaine, par
laquelle il peut connaitre, juger et se conduire selon des principes, de fonder
des connaissances objectives par les démonstrations rationnelles qu’elle permet
d’élaborer. Quant à la religion, elle aromatise la croyance et la foi que l’on
y associe. Au sujet de la justice, elle est qu’un principe philosophique,
juridique et moral fondamental en vertu duquel les actions humaines doivent
être sanctionnées ou récompensées en fonction de leur mérite au regard du
droit, de la morale, de la vertu ou autres sources normatives de comportements. La religion est définie comme la
manière comme l'homme établit le lien avec le divin et qui permet à l'humanité
de vénérer un dieu. L'existence de la religion dans la littérature semble un
fait universel et aussi ancien de l'humanité.
La religion se
conçoit comme un système de pratiques et de croyances d’un individu, d’un groupe de personnes ou d’une communauté. Le terme latin
« religion » a été défini premièrement par Cicéron comme « le fait de s'occuper
d'une nature supérieure ou divine et
qu’on doit lui rendre un culte[2]
» Dans le Coran, le terme « dîn », qui peut être considéré comme
équivalent de celui de religion, désigne avant tout les prescriptions de Dieu
pour une communauté.
Pendant
longtemps, la religion a été imposée aux hommes. Ils n'étaient pas libres de
décider s'ils croyaient ou non en l'existence de Dieu. Dès l'Antiquité, les
hommes instruits se sont opposés à cette idée. Ce fut le cas de Socrate : le
philosophe, accusé de pervertir les hommes et de les éloigner des valeurs
traditionnelles, est mort à cause de ses idées. Ce n'est qu'au 18ème siècle
dans « Candide » que Voltaire présente son opinion sur la religion à
travers ses personnages. C'est par exemple le cas avec la figure de l'Abbé qui
n'est autre qu'un imposteur qui vole Candide. Voltaire ne dénonce à aucun
moment la foi, mais plutôt la complexité de la religion chrétienne et les
absurdités qu'elle entraîne.
Également, La religion fait partie du décor du
roman policier « Le Nom de la rose » d'Umberto Eco, l'écrivain
italien qui nous transporte dans une abbaye franciscaine au cœur de laquelle
des crimes atroces ont été commis. C'est un moine, Guillaume de Baskerville,
qui est chargé de l'enquête. Dans ce récit, il n'est pas question de dénoncer
la religion, ou bien d'en faire une interprétation, elle est simplement
présente dans l'esprit de tous les protagonistes.
Au 20ème siècle,
Albert Camus utilise un autre procédé pour dénoncer les abus de la religion :
l'absurde. On retrouve cette dénonciation de la religion dans son roman
« l’Étranger ». A la fin du roman, le personnage de Meursault est
condamné à mort et s'entretient avec un aumônier qui provoque sa colère. Il ne
croit pas en Dieu pas encore dans un
paradis après la mort.
Pendant longtemps, la religion a été imposée
aux hommes. Ils n'étaient pas libres de décider s'ils croyaient ou non en
l'existence de Dieu. En ce sens, la déclaration des droits de l’homme est
absurde puisqu’il déclare que tout homme jouit d’un certain nombre de libertés
inaliénables quel que soit le contexte. Article 1. « Chacun peut se
prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la
déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe,
de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion,
d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre
situation. [3]»
Les idées religieuses sont trop conformes à
nos désirs les plus profonds, faisant
que la religion soit un remède aux principales causes de souffrances qui caractérise
l'existence humaine comme c’est la mort, l'existence du mal, les péchés etc. On
peut remarquer que les valeurs religieuses témoignent d'une certaine
dépréciation de la vie. Les croyants devant supporter la misère du monde, ils
se cachent derrière leurs illusions au lieu de se relever et de combattre la
souffrance. On peut considérer qu'ils se résignent d'une certaine manière à
améliorer leur existence.
On
continue avec Camus, un philosophe des Lumières ; il cherche des certitudes
raisonnables pour vivre. Il voit dans la foi religieuse le "saut dans
l’irrationnel" qui détourne l’esprit de la réalité, et où l’homme nie sa
raison, sa "conscience lucide". Mais ce qui rend encore plus ferme la
position du penseur dans son athéisme, c’est l’existence du mal qu’il n’arrive
pas, toujours en suivant les Lumières, à associer à la toute puissance et à la
sagesse divine. Il ne saurait accepter "le paradoxe d’un Dieu
tout-puissant et malfaisant, ou bienfaisant et stérile"
Selon
la Bible, Isaías 33:15 “El que anda en
justicia y habla con sinceridad, morará en las alturas, en la peña inexpugnable
estará su refugio; se le dará su pan, y tendrá segura su agua.” [4]Meursault
a dit toujours la vérité, il a accepté son coulpe, et pourquoi est qu’il a
commis le crime « c'est alors que
tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que
le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s'est tendu et j'ai crispé ma main
sur le revolver » (L’étranger. Chapitre VI ).
Meursault a
expliqué en détail comme est qu’il a tué l’Arabe « La gâchette a cédé, j'ai
touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la fois sec et
assourdissant, que tout a commencé. J'ai secoué la sueur et le soleil. J'ai
compris que j'avais détruit l'équilibre du jour, le silence exceptionnel d'une
plage où j'avais été heureux. Alors, j'ai tiré encore quatre fois sur un corps
inerte où les balles s'enfonçaient sans qu'il y parût. Et c'était comme quatre
coups brefs que je frappais sur la porte du malheur. [5]»
(L’étranger, Deuxième partie, Chapitre 2).
On a vu que le
rapport de l’être humaine à la religion
est donc ambigu. D'une part, c'est la fragilité existentielle qui expliquerait le
besoin de Dieu, afin de posséder une certitude devant les contingences de
l'existence. Mais d'autre part, le besoin de Dieu ne serait pas qu'une affaire
de volonté et de connaissance : l'homme en aurait essentiellement besoin, sans
quoi son existence deviendrait absurde, serait sans origine et sans finalité.
Roman « l’Étranger » d’Albert Camus (1942)
Nous verrons
tout d’abord que la religion, parce qu’elle relève de la croyance en une
transcendance que ne peut être rendue rationnelle par la raison. C’est
pourquoi, plus qu’une relation participative entre religion et raison dans le
livre « l’étrangère » d’Albert Camus, nous verrons que les deux
peuvent être supprimés dans une relation d’opposition qui donne lieu à la
justice humaine. On se demandera sil l'homme
a-t-il nécessairement besoin de religion ? La religion appartient au domaine du
raisonnable ? et si La religion et la raison découlent toutes les deux de
la nature humaine ?.
Au premier
abord, on laisse donc à penser que religion et raison sont contradictoires
entre elles, la raison par sa part est
la faculté de fonder un savoir ou une connaissance objective, la religion
renvoie quant à elle aux domaines de la foi ainsi qu’à la croyance en une
transcendance. La religion est en effet constituée de principes et de
préceptes, de dogmes et de pratiques d’une transcendance inconnaissable. Meursault sait nécessairement au fond de
lui que l’existence du dieu chrétien est avéré, seulement, il ne le reconnaît
pas. Malgré la certitude de Meursault, cette certitude doit nécessairement
comporter une faille puisque, selon l’aumônier, dans la mesure où un dieu
existe, il est impossible d’être sûr de son non existence. C’est pourquoi
l’aumônier « a observé qu’on se croyait sûr, quelquefois, et, en réalité, on ne
l’était pas » (L’étranger, Deuxième
partie, Chapitre 5).
Devant
la certitude de Meursault de savoir que la question d’un dieu ne se pose pas,
l’aumônier suppose l’excès de désespoir : « il […] m’a demandé si je ne parlais
pas ainsi par excès de désespoir. Je lui ai expliqué que je n’étais pas
désespéré. J’avais seulement peur, c’était bien naturel. « Dieu vous aiderait
alors », a remarqué l’aumônier (L’étranger, Deuxième partie, Chapitre 5). Dans
cet échange, il est clair à nouveau que l’aumônier guette toute faiblesse de
Meursault pour s’y engouffrer. Or, Meursault a une faiblesse car il a peur.
Cette peur est naturelle, dit-il, autrement dit évidente au vu de sa situation.
La peur de mourir de Meursault montre par là-même qu’il n’a pas encore compris l’absurde,
il n’a fait jusqu’à présent que l’éprouver sans l’assumer. Nous éprouvons tous
l’absurde, mais rares sont ceux qui peuvent l’assumer et beaucoup, justement
s’inventent un dieu.
L'homme
a-t-il nécessairement besoin de religion ?
Il s'agit
ici de se demander si le fait de croire et d'adopter une religion vient de la
nature humaine, se justifie en raison d'une définition essentielle de l'homme,
ou si tout au contraire elle ne procède que d'une illusion due à la faiblesse
de l'esprit humain, à la fragilité d'un homme qui ne parvient pas à comprendre
le sens de sa destinée. Il semble à première vue que la religion unit les
hommes dans une communauté de croyances dans la mesure où chacun reconnaît
l'existence supérieure d'un Dieu. En cela, la religion est affaire d'individu
et semble reposer sur une forme de besoin personnel et, plus précisément,
spirituel. Mais, outre ce lien social, la religion, comme la science
d'ailleurs, est un mode d'explication du monde et de ce qui est : elle un
discours de vérité visant à expliquer la nature des choses à partir d'une
origine sur le divin. La vérité dépend donc d'une révélation première qui est
la norme du vrai (la Bible pour les chrétiens par exemple) et cela conditionne
une compréhension de l'histoire qui n'est pas progressive mais reste dépendante
d'une origine vraie indépassable qui est le Dieu. En ce double sens, la
religion résulte bien d'un besoin individuel de comprendre le monde et de vivre
avec autrui, besoin qui se trouve satisfait par la façon dont le Dieu a conçu
la place de l'homme au sein de la création.
La religion appartient au domaine du raisonnable
Pourtant, si la
religion est irrationnelle au sens où l’on ne peut en rendre raison puisqu’elle
relève du pur sentiment intérieur et de l’adhésion, la raison n’est-elle pas
toutefois conciliable avec la religion ? Il n’y a pas de rupture radicale entre
religion et raison, mais cette dernière peut être invoquée pour la secourir.
En effet,
historiquement, la religion a toujours eu recours à la raison humaine pour se
fonder. Si la religion était pure irrationalité, l’homme y serait totalement
hermétique en tant qu’il est « un animal raisonnable » comme le concevait
Aristote. Avant la théorisation de l’idée Kantienne, bien des philosophes ont
élaboré des démonstrations rationnelles de Dieu et par conséquent de la
religion sur lequel elle repose pour mobiliser des preuves tirées de la raison.
L’argument ontologique fait ainsi appel à un raisonnement logique sous forme de
syllogisme qui a été invoqué à plusieurs reprises à la fois par Saint Anselme,
puis par Descartes et Leibniz, et qui se résume comme suit : Dieu est un être
parfait ; or une perfection qui ne comprendrait pas l'existence ne serait
évidemment pas complète ; donc Dieu est aussi doté de l'existence.
Si le sentiment
religieux est donc irrationnel puisque l’on ne peut en rendre raison, la
religion n’est pas pour autant dénuée de raison. Aussi, si l’on ne peut dire
que la religion est rationnelle, est-elle toutefois raisonnable. Nous en
voulons pour preuve encore ce raisonnement de Pascal connu sous l’intitulé du «
pari de Pascal ». Celui-ci nous dit-il réside dans le fait qu’il est plus
raisonnable de croire en l’existence de Dieu puisque qu’il existe ou non nous
ne perdrons pas plus que si nous partons du principe qu’il n’existe pas et que
dès lors nous aurions plus à perdre.
Ainsi, si la
religion est irrationnelle, il n’en reste pas moins qu’elle appartient au
domaine du raisonnable. Malgré les dogmes qu’elle peut inculquer, la religion
n’échappe toutefois pas à la faculté de la raison en tant que l’homme est un
être raisonnable qui a cette capacité de raisonner dessus. Contraire à la
raison comme irrationalité, la religion ne peut-elle pas finalement être vue
comme complémentaire à celle-ci, comme en participant ?
La religion et la raison découlent toutes les deux
de la nature humaine
Nous avons vu
que l’on ne peut rendre compte de la religion par la raison, mais que celle-ci
pouvait être mobilisée pour discourir sur elle. L’homme n’est pas un pur être
de raison, mais il a toujours en lui également une part de croyance d’où la
religion tire sa force et sa justification. En disant que la religion est
contraire à la raison, il y aurait ainsi une opposition radicale entre les deux
qui ne semble pas tenir puisque l’homme est à la fois croyant et raisonnable,
doté d’une subjectivité mais également capable d’objectivité. De cette relation
contradictoire ou opposée entre raison et religion, il faudrait bien plutôt y
voir une relation de complémentarité. La finitude de l’homme l’enjoint à
trouver un sens caché qui préside à son existence. Car il est doté de raison,
celle-ci le porte sans répit à chercher les causes des choses et notamment sa
raison d’être. Mais parce qu’il est un être imparfait, non omniscient et que
ses facultés sont limitées, il vise à connaitre au-delà de ce qu’il lui est
possible. Naturellement donc, Kant explique dans la Critique de la raison pure
que l’homme vise une connaissance qui le transcende et dont sa raison est
insuffisante à rendre compte, tombant inexorablement dans des antinomies
produites par sa raison. Mais l’homme n’est pas seulement un être doué de
raison, c’est aussi un être sensible qui croit et qui espère.
En se fondant sur la croyance, la religion
poussée par la raison humaine en est à la fois le produit et la dépasse. Si
l’homme est religieux, c’est ainsi parce qu’il est raisonnable. Mais plus
qu’une simple condition de possibilité pour la religion, la raison humaine en
est aussi sa justification. L’homme est à la fois un être de croyance et de
raison, si bien que religion et raison participent de concert chez lui plutôt
qu’elles s’opposent.
Comme nous
l’avons vu, la religion ne relève pas du
domaine du rationnel, il n’en reste pas moins qu’elle appartient à celui du raisonnable.
Puisque la raison est la faculté de discerner, de comprendre et de démontrer,
elle est impropre à rendre compte du phénomène religieux. En effet, celui-ci
bien que raisonnable relève bien plus du sentiment intérieur, de la foi et de
la subjectivité, que de l’objectivité visée par la raison.
Également et car comme le souligne la Bible Romanos
10:3 “Porque ignorando la justicia de Dios, y procurando establecer la suya
propia, no se han sujetado a la justicia de Dios; [6]”
Dans ce cas la peine de mort pour la quelle
Meursault a été condamné va contre la religion en soi-même tenant compte que la seule personne qui décide sur la vie
et la mort c’est Dieux pas un autre être-humaine pécheur et criminel.
D’autre
part, le monde dans lequel nous vivons
est si complexe qu'il est nécessaire de trouver en chaque chose un aspect
rationnel. Pourtant, il ne faut pas oublier que la religion ne peut être
associée à la raison car comme le rappelle Pascal « le cœur à ses raisons que la
raison ne connaît point». Selon lui, certaines vérités que nous ne pouvons
percevoir qu'intuitivement ne peuvent faire l'objet que d'une évidence intime,
dont la raison n'a pas à rendre de compte.
Albert CAMUS
restera à jamais l’homme amoureux de la nature humaine et son amour restera sur
cette terre comme une force incommensurable. Cet homme, si humble et si
passionné, me réchauffera le cœur par sa grande chaleur du soleil d’ Algérie
qu’ on retrouve dans tout son art d’ écriture.
REFERENCES
Citation d’Internet :
Albert CAMUS philosophe et écrivain français [1913-1960] (1942) L’ÉTRANGER Roman
Citation
non littérale : Selon Cicéron La religion
s'occupe d'une nature supérieure ou divine et qu’on doit lui rendre un culte.
Citation littérale : Selon
la Bible, Isaías 33:15 “El que anda en
justicia y habla con sinceridad, morará en las alturas, en la peña inexpugnable
estará su refugio; se le dará su pan, y tendrá segura su agua.”
Citation
littérale : L’étranger, Deuxième partie, Chapitre 2 «
La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans
le bruit à la fois sec et assourdissant, que tout a commencé. J'ai secoué la
sueur et le soleil. J'ai compris que j'avais détruit l'équilibre du jour, le
silence exceptionnel d'une plage où j'avais été heureux. Alors, j'ai tiré
encore quatre fois sur un corps inerte où les balles s'enfonçaient sans qu'il y
parût. Et c'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du
malheur. »
Citation
littérale : L’étranger,
Deuxième partie, Chapitre 5 « il […] m’a demandé si je ne parlais pas ainsi par
excès de désespoir. Je lui ai expliqué que je n’étais pas désespéré. J’avais
seulement peur, c’était bien naturel. « Dieu vous aiderait alors ».
§ [1] CAMUS
, Albert « L’ÉTRANGER Roman » . Cette page a été modifié le 13 Février
2011 à 7 heure 15. Partie 2, I
[2]
Wikipédia l’encyclopédie. « La religion » Dernière modification de
cette page le 11 juin 2016, à 19:07, https://fr.wikipedia.org/wiki/Religion.
[3] Déclaration
universelle des droits de l'homme. Article 1, la liberté comme droit
inaliénable. http://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/
[5] CAMUS , Albert
« L’ÉTRANGER Roman » . Cette page a été modifié le 13 Février 2011 à
7 heure 15. Partie 2, I