miércoles, 15 de junio de 2016

« l’étrangère » d’Albert camus.

L’importance de la religion et la raison et leur relation avec la justice humaine  dans le  livre « l’étrangère » d’Albert camus.

 
ORTIZ CALDERON leney Xiomara
1093765896


Cours de littérature francophone
Professeur : SARMIENTO SEQUEDA Favio





Université de Pamplona
Nord de Santander
June 2016

TABLE DES MATIÈRES



1.       PRESENTATION ……………………………………………………………………3
2.       INTRODUCTION: …………………….…………………………………………….5
3.       DEVELOPPEMENT ……...………………………………………………………..12
4.       CONCLUSIONS ………….……………………………………………………….13
5.       REFERENCES………………………………………………………………………14














L’importance de la religion et la raison et leur relation avec la justice humaine  dans le  livre « l’étrangère » d’Albert camus.
Depuis l’avènement de la raison chez l’homme, l’humanité, les valeurs et les fondements ont évolués à travers le temps. Tout d’abord, l’homme s’appuya sur la raison de l’autorité. Il était dicté par une autorité supérieure. Suite à la première guerre mondiale, l’homme sait qu’il a une emprise totale sur sa vie et ses actions. Vint, au milieu du 20eme siècle, en France, le courant de l’existentialisme. Une période où l’homme sait qu’il peut penser ce qu’il veut et agir selon sa propre volonté. Ce courant influence le roman français. Camus, auteur français, écrit l’Étranger durant cette période. Dans le texte qui suit, on vous démontrera sous plusieurs angles que le personnage de Meursault est un antihéros existentialiste par son authenticité en premier lieu, ainsi que par sa révolte contres a mort imminente et absurde.
Meursault est un personnage allant à l’encontre de ce qu’est un héros extraordinaire idéal par son manque sincère d’intérêt pour ce qui l’entoure. Le personnage vit contre les idéaux de la société, étant d’amplifier ses sentiments. Autrement dit, un jeu auquel on participe inconsciemment tous les jours pour se simplifier l’existence. Meursault, lui, reste fidèle à ses perceptions et s’efforce de dire ce qu’il ressent en toute franchise ce qui peut souvent être choquant. Lorsqu’on lui demande s’il regrette d’avoir tué l’arabe, il répond « Plutôt que du regret véritable, j’éprouvais un certain ennui.[1] ». C’est cette nuance un peu trop honnête et inattendue qui le condamne. Les êtres responsables de son jugement auraient voulu entendre une désolation profonde de sa part.
Quand on parle de  raison on faire référence à la faculté  propre à l’être humaine, par laquelle il peut connaitre, juger et se conduire selon des principes, de fonder des connaissances objectives par les démonstrations rationnelles qu’elle permet d’élaborer. Quant à la religion, elle aromatise la croyance et la foi que l’on y associe. Au sujet de la justice, elle est qu’un principe philosophique, juridique et moral fondamental en vertu duquel les actions humaines doivent être sanctionnées ou récompensées en fonction de leur mérite au regard du droit, de la morale, de la vertu ou autres sources normatives de comportements. La religion est définie comme la manière comme l'homme établit le lien avec le divin et qui permet à l'humanité de vénérer un dieu. L'existence de la religion dans la littérature semble un fait universel et aussi ancien de l'humanité.
La religion se conçoit comme un système de pratiques et de croyances  d’un individu, d’un groupe de  personnes ou d’une communauté. Le terme latin « religion » a été défini premièrement  par Cicéron comme « le fait de s'occuper d'une nature supérieure ou divine et  qu’on doit lui rendre un culte[2] » Dans le Coran, le terme « dîn », qui peut être considéré comme équivalent de celui de religion, désigne avant tout les prescriptions de Dieu pour une communauté.
Pendant longtemps, la religion a été imposée aux hommes. Ils n'étaient pas libres de décider s'ils croyaient ou non en l'existence de Dieu. Dès l'Antiquité, les hommes instruits se sont opposés à cette idée. Ce fut le cas de Socrate : le philosophe, accusé de pervertir les hommes et de les éloigner des valeurs traditionnelles, est mort à cause de ses idées. Ce n'est qu'au 18ème siècle dans « Candide » que Voltaire présente son opinion sur la religion à travers ses personnages. C'est par exemple le cas avec la figure de l'Abbé qui n'est autre qu'un imposteur qui vole Candide. Voltaire ne dénonce à aucun moment la foi, mais plutôt la complexité de la religion chrétienne et les absurdités qu'elle entraîne.
 Également, La religion fait partie du décor du roman policier «  Le Nom de la rose » d'Umberto Eco, l'écrivain italien qui nous transporte dans une abbaye franciscaine au cœur de laquelle des crimes atroces ont été commis. C'est un moine, Guillaume de Baskerville, qui est chargé de l'enquête. Dans ce récit, il n'est pas question de dénoncer la religion, ou bien d'en faire une interprétation, elle est simplement présente dans l'esprit de tous les protagonistes.
Au 20ème siècle, Albert Camus utilise un autre procédé pour dénoncer les abus de la religion : l'absurde. On retrouve cette dénonciation de la religion dans son roman « l’Étranger ». A la fin du roman, le personnage de Meursault est condamné à mort et s'entretient avec un aumônier qui provoque sa colère. Il ne croit pas en Dieu pas encore dans un  paradis après la mort.
 Pendant longtemps, la religion a été imposée aux hommes. Ils n'étaient pas libres de décider s'ils croyaient ou non en l'existence de Dieu. En ce sens, la déclaration des droits de l’homme est absurde puisqu’il déclare que tout homme jouit d’un certain nombre de libertés inaliénables quel que soit le contexte. Article 1. « Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. [3]»
 Les idées religieuses sont trop conformes à nos désirs  les plus profonds, faisant que la religion soit un remède aux principales causes de souffrances qui caractérise l'existence humaine comme c’est la mort, l'existence du mal, les péchés etc. On peut remarquer que les valeurs religieuses témoignent d'une certaine dépréciation de la vie. Les croyants devant supporter la misère du monde, ils se cachent derrière leurs illusions au lieu de se relever et de combattre la souffrance. On peut considérer qu'ils se résignent d'une certaine manière à améliorer leur existence.
On continue avec Camus, un philosophe des Lumières ; il cherche des certitudes raisonnables pour vivre. Il voit dans la foi religieuse le "saut dans l’irrationnel" qui détourne l’esprit de la réalité, et où l’homme nie sa raison, sa "conscience lucide". Mais ce qui rend encore plus ferme la position du penseur dans son athéisme, c’est l’existence du mal qu’il n’arrive pas, toujours en suivant les Lumières, à associer à la toute puissance et à la sagesse divine. Il ne saurait accepter "le paradoxe d’un Dieu tout-puissant et malfaisant, ou bienfaisant et stérile"
Selon la  Bible, Isaías 33:15 “El que anda en justicia y habla con sinceridad, morará en las alturas, en la peña inexpugnable estará su refugio; se le dará su pan, y tendrá segura su agua.” [4]Meursault a dit toujours la vérité, il a accepté son coulpe, et pourquoi est qu’il a commis le crime   «  c'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu.  Tout mon être s'est tendu et j'ai crispé ma main sur le revolver » (L’étranger. Chapitre VI ).
Meursault a expliqué en détail comme est qu’il a tué l’Arabe « La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la fois sec et assourdissant, que tout a commencé. J'ai secoué la sueur et le soleil. J'ai compris que j'avais détruit l'équilibre du jour, le silence exceptionnel d'une plage où j'avais été heureux. Alors, j'ai tiré encore quatre fois sur un corps inerte où les balles s'enfonçaient sans qu'il y parût. Et c'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur. [5]» (L’étranger, Deuxième partie, Chapitre 2).

On a vu que le rapport de l’être humaine  à la religion est donc ambigu. D'une part, c'est la fragilité existentielle qui expliquerait le besoin de Dieu, afin de posséder une certitude devant les contingences de l'existence. Mais d'autre part, le besoin de Dieu ne serait pas qu'une affaire de volonté et de connaissance : l'homme en aurait essentiellement besoin, sans quoi son existence deviendrait absurde, serait sans origine et sans finalité. Roman « l’Étranger » d’Albert Camus (1942)

Nous verrons tout d’abord que la religion, parce qu’elle relève de la croyance en une transcendance que ne peut être rendue rationnelle par la raison. C’est pourquoi, plus qu’une relation participative entre religion et raison dans le livre « l’étrangère » d’Albert Camus, nous verrons que les deux peuvent être supprimés dans une relation d’opposition qui donne lieu à la justice  humaine. On se demandera sil l'homme a-t-il nécessairement besoin de religion ? La religion appartient au domaine du raisonnable ? et si La religion et la raison découlent toutes les deux de la nature humaine ?.

Au premier abord, on laisse donc à penser que religion et raison sont contradictoires entre elles, la raison par sa part  est la faculté de fonder un savoir ou une connaissance objective, la religion renvoie quant à elle aux domaines de la foi ainsi qu’à la croyance en une transcendance. La religion est en effet constituée de principes et de préceptes, de dogmes et de pratiques d’une transcendance inconnaissable. Meursault sait nécessairement au fond de lui que l’existence du dieu chrétien est avéré, seulement, il ne le reconnaît pas. Malgré la certitude de Meursault, cette certitude doit nécessairement comporter une faille puisque, selon l’aumônier, dans la mesure où un dieu existe, il est impossible d’être sûr de son non existence. C’est pourquoi l’aumônier « a observé qu’on se croyait sûr, quelquefois, et, en réalité, on ne l’était pas »     (L’étranger, Deuxième partie, Chapitre 5).
Devant la certitude de Meursault de savoir que la question d’un dieu ne se pose pas, l’aumônier suppose l’excès de désespoir : « il […] m’a demandé si je ne parlais pas ainsi par excès de désespoir. Je lui ai expliqué que je n’étais pas désespéré. J’avais seulement peur, c’était bien naturel. « Dieu vous aiderait alors », a remarqué l’aumônier (L’étranger, Deuxième partie, Chapitre 5). Dans cet échange, il est clair à nouveau que l’aumônier guette toute faiblesse de Meursault pour s’y engouffrer. Or, Meursault a une faiblesse car il a peur. Cette peur est naturelle, dit-il, autrement dit évidente au vu de sa situation. La peur de mourir de Meursault montre par là-même qu’il n’a pas encore compris l’absurde, il n’a fait jusqu’à présent que l’éprouver sans l’assumer. Nous éprouvons tous l’absurde, mais rares sont ceux qui peuvent l’assumer et beaucoup, justement s’inventent un dieu.

 L'homme a-t-il nécessairement besoin de religion ?

Il s'agit ici de se demander si le fait de croire et d'adopter une religion vient de la nature humaine, se justifie en raison d'une définition essentielle de l'homme, ou si tout au contraire elle ne procède que d'une illusion due à la faiblesse de l'esprit humain, à la fragilité d'un homme qui ne parvient pas à comprendre le sens de sa destinée. Il semble à première vue que la religion unit les hommes dans une communauté de croyances dans la mesure où chacun reconnaît l'existence supérieure d'un Dieu. En cela, la religion est affaire d'individu et semble reposer sur une forme de besoin personnel et, plus précisément, spirituel. Mais, outre ce lien social, la religion, comme la science d'ailleurs, est un mode d'explication du monde et de ce qui est : elle un discours de vérité visant à expliquer la nature des choses à partir d'une origine sur le divin. La vérité dépend donc d'une révélation première qui est la norme du vrai (la Bible pour les chrétiens par exemple) et cela conditionne une compréhension de l'histoire qui n'est pas progressive mais reste dépendante d'une origine vraie indépassable qui est le Dieu. En ce double sens, la religion résulte bien d'un besoin individuel de comprendre le monde et de vivre avec autrui, besoin qui se trouve satisfait par la façon dont le Dieu a conçu la place de l'homme au sein de la création.


La religion appartient au domaine du raisonnable

Pourtant, si la religion est irrationnelle au sens où l’on ne peut en rendre raison puisqu’elle relève du pur sentiment intérieur et de l’adhésion, la raison n’est-elle pas toutefois conciliable avec la religion ? Il n’y a pas de rupture radicale entre religion et raison, mais cette dernière peut être invoquée pour la secourir.
En effet, historiquement, la religion a toujours eu recours à la raison humaine pour se fonder. Si la religion était pure irrationalité, l’homme y serait totalement hermétique en tant qu’il est « un animal raisonnable » comme le concevait Aristote. Avant la théorisation de l’idée Kantienne, bien des philosophes ont élaboré des démonstrations rationnelles de Dieu et par conséquent de la religion sur lequel elle repose pour mobiliser des preuves tirées de la raison. L’argument ontologique fait ainsi appel à un raisonnement logique sous forme de syllogisme qui a été invoqué à plusieurs reprises à la fois par Saint Anselme, puis par Descartes et Leibniz, et qui se résume comme suit : Dieu est un être parfait ; or une perfection qui ne comprendrait pas l'existence ne serait évidemment pas complète ; donc Dieu est aussi doté de l'existence.

Si le sentiment religieux est donc irrationnel puisque l’on ne peut en rendre raison, la religion n’est pas pour autant dénuée de raison. Aussi, si l’on ne peut dire que la religion est rationnelle, est-elle toutefois raisonnable. Nous en voulons pour preuve encore ce raisonnement de Pascal connu sous l’intitulé du « pari de Pascal ». Celui-ci nous dit-il réside dans le fait qu’il est plus raisonnable de croire en l’existence de Dieu puisque qu’il existe ou non nous ne perdrons pas plus que si nous partons du principe qu’il n’existe pas et que dès lors nous aurions plus à perdre.

Ainsi, si la religion est irrationnelle, il n’en reste pas moins qu’elle appartient au domaine du raisonnable. Malgré les dogmes qu’elle peut inculquer, la religion n’échappe toutefois pas à la faculté de la raison en tant que l’homme est un être raisonnable qui a cette capacité de raisonner dessus. Contraire à la raison comme irrationalité, la religion ne peut-elle pas finalement être vue comme complémentaire à celle-ci, comme en participant ?

La religion et la raison découlent toutes les deux de la nature humaine

Nous avons vu que l’on ne peut rendre compte de la religion par la raison, mais que celle-ci pouvait être mobilisée pour discourir sur elle. L’homme n’est pas un pur être de raison, mais il a toujours en lui également une part de croyance d’où la religion tire sa force et sa justification. En disant que la religion est contraire à la raison, il y aurait ainsi une opposition radicale entre les deux qui ne semble pas tenir puisque l’homme est à la fois croyant et raisonnable, doté d’une subjectivité mais également capable d’objectivité. De cette relation contradictoire ou opposée entre raison et religion, il faudrait bien plutôt y voir une relation de complémentarité. La finitude de l’homme l’enjoint à trouver un sens caché qui préside à son existence. Car il est doté de raison, celle-ci le porte sans répit à chercher les causes des choses et notamment sa raison d’être. Mais parce qu’il est un être imparfait, non omniscient et que ses facultés sont limitées, il vise à connaitre au-delà de ce qu’il lui est possible. Naturellement donc, Kant explique dans la Critique de la raison pure que l’homme vise une connaissance qui le transcende et dont sa raison est insuffisante à rendre compte, tombant inexorablement dans des antinomies produites par sa raison. Mais l’homme n’est pas seulement un être doué de raison, c’est aussi un être sensible qui croit et qui espère.

 En se fondant sur la croyance, la religion poussée par la raison humaine en est à la fois le produit et la dépasse. Si l’homme est religieux, c’est ainsi parce qu’il est raisonnable. Mais plus qu’une simple condition de possibilité pour la religion, la raison humaine en est aussi sa justification. L’homme est à la fois un être de croyance et de raison, si bien que religion et raison participent de concert chez lui plutôt qu’elles s’opposent.
Comme nous l’avons vu,  la religion ne relève pas du domaine du rationnel, il n’en reste pas moins qu’elle appartient à celui du raisonnable. Puisque la raison est la faculté de discerner, de comprendre et de démontrer, elle est impropre à rendre compte du phénomène religieux. En effet, celui-ci bien que raisonnable relève bien plus du sentiment intérieur, de la foi et de la subjectivité, que de l’objectivité visée par la raison.
Également  et car comme le souligne la Bible Romanos 10:3 “Porque ignorando la justicia de Dios, y procurando establecer la suya propia, no se han sujetado a la justicia de Dios; [6]” Dans ce cas la peine de mort pour la quelle  Meursault  a été  condamné va contre la religion  en soi-même tenant compte  que la seule personne qui décide sur la vie et la mort c’est Dieux pas un autre être-humaine pécheur et criminel.
D’autre part,  le monde dans lequel nous vivons est si complexe qu'il est nécessaire de trouver en chaque chose un aspect rationnel. Pourtant, il ne faut pas oublier que la religion ne peut être associée à la raison car comme le rappelle Pascal « le cœur à ses raisons que la raison ne connaît point». Selon lui, certaines vérités que nous ne pouvons percevoir qu'intuitivement ne peuvent faire l'objet que d'une évidence intime, dont la raison n'a pas à rendre de compte.
Albert CAMUS restera à jamais l’homme amoureux de la nature humaine et son amour restera sur cette terre comme une force incommensurable. Cet homme, si humble et si passionné, me réchauffera le cœur par sa grande chaleur du soleil d’ Algérie qu’ on retrouve dans tout son art d’ écriture.









REFERENCES
Citation d’Internet : Albert CAMUS philosophe et écrivain français [1913-1960] (1942)    L’ÉTRANGER Roman 
Citation non  littérale : Selon Cicéron  La religion  s'occupe d'une nature supérieure ou divine et  qu’on doit lui rendre un culte.
Citation littérale : Selon la  Bible, Isaías 33:15 “El que anda en justicia y habla con sinceridad, morará en las alturas, en la peña inexpugnable estará su refugio; se le dará su pan, y tendrá segura su agua.”
Citation d’Internet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Justice
Citation littérale : L’étranger, Deuxième partie, Chapitre 2 « La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la fois sec et assourdissant, que tout a commencé. J'ai secoué la sueur et le soleil. J'ai compris que j'avais détruit l'équilibre du jour, le silence exceptionnel d'une plage où j'avais été heureux. Alors, j'ai tiré encore quatre fois sur un corps inerte où les balles s'enfonçaient sans qu'il y parût. Et c'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur. »
Citation littérale :  L’étranger, Deuxième partie, Chapitre 5 « il […] m’a demandé si je ne parlais pas ainsi par excès de désespoir. Je lui ai expliqué que je n’étais pas désespéré. J’avais seulement peur, c’était bien naturel. « Dieu vous aiderait alors ».


§  [1] CAMUS , Albert  « L’ÉTRANGER Roman » . Cette page a été modifié le 13 Février 2011 à 7 heure 15. Partie 2, I 

[2] Wikipédia l’encyclopédie. « La religion » Dernière modification de cette page le 11 juin 2016, à 19:07, https://fr.wikipedia.org/wiki/Religion.
[3] Déclaration universelle des droits de l'homme. Article 1, la liberté comme droit inaliénable. http://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/

[4] La  Bible, Isaías 33:15.
[5] CAMUS , Albert  « L’ÉTRANGER Roman » . Cette page a été modifié le 13 Février 2011 à 7 heure 15. Partie 2, I 
[6] la Bible Romanos 10:3.

sábado, 11 de junio de 2016

Pièce de théâtre Notre-Dame de Paris

Pièce de théâtre Notre-Dame de Paris


 Quant à la pièce de théâtre qu’on a regardé sur  Notre-Dame de Paris de Victor Hugo j'étais complètement submergée par cet univers, la cour des miracles, Quasimodo, la belle Esméralda, Pierre Gringoire, Frollo et des autres personnages qui ont été partie de la pièce ont été si génial. C'était à la fois inquiétant et troublant. Moi j'étais amoureuse de Quasimodo et je ne comprenais pas pourquoi Esméralda était attirée par ce beau capitaine, prétentieux et peu aimant... Remarquez que... tout à coup j'étais  amoureuse de la bête qui permet le développement d'une foultitude d'émotions fabriquées par notre imaginaire en temps réel. Cela va du dessin des personnages, de la construction environnementale à toute une perception naturelle que notre interprétation s'attache à mettre en place. Tandis que les images d'une filmographie réduisent et surtout imposent de façon irrémédiable notre réception première. Je revois la scène où Esméralda apporte à boire à Quasimodo attaché au pilori et surtout celle où ils sont unis et réunis pour l'éternité. Il y a bien là, toute la force et toute la consistance des valeurs de l'humanité qui sont représentées.

 

viernes, 10 de junio de 2016

SCRIPT CENDRILLON

CENDRILLON SCENE 2: A LA MAISON
Narrateur: enrique nieto
La mémé: leney ortiz
Cendrillon: marcela Sandoval
La fée blanche : Sandra Jaimes
La fée noir : Darcy Pacheco


Narrateur: « cendrillon, avec le cœur brisé  entre à la maison en pleurant parce que le prince, l’amour de sa vie était en train de danser avec une autre femme, une femme qui n’était pas elle. »
La mémé : qu’est-ce qui t’arrive  ma chère cendrillon?  
Cendrillon : maman je viens de vivre une des situations les plus difficiles de mon existence.
La mémé : Raconte-moi, qu’est-ce qui s’est passé avec toi?
Cendrillon : le prince, l’amour de ma vie a préféré  passer sa vie avec une autre femme.
La mémé : Mais pourquoi s’il t’aime vraiment – et dis-moi, pourquoi tu es habillée comme ça?
Cendrillon : ma  fée marraine  m’a dit que ces vêtements étaient les meilleurs pour aller à la fête.
La mémé : est-ce que tu ne t’es pas vu dans le miroir? Tu as l’air moche. Ta fée ne sait rien de  mode. Tu ressembles à  une femme, vulgaire, ordinaire pauvre, je crois que ta  fée marraine  ne veut pas t’aider
Cendrillon Pour  de vrai maman? Donc, qu’est-ce que tu me conseilles de faire?
La mémé: ne t’inquiètes pas ma chère cendrillon une solution arrivera
La fée blanche : Qu’est-ce qui t’arrive belle femme pourquoi tu pleures.
Cendrillon : Qui êtes-vous ?
La fée blanche: je suis la fée marraine de ton amour le prince.
Cendrillon : mais pourquoi vous-êtes ici ?
La fée blanche: bon, je suis ici car je suis intéressée à vous aider belle femme, je vous promets que vous serez avec l’amour de votre vie, cela veut dire, avec le prince
Cendrillon : Mais de quelle manière vous allez m’aider? Comment? Je vous prie de me dire s’il vous plait
 La fée blanche: Ne vous inquiète pas, restez tranquille, je vous promets que je retournerai avec des bonnes nouvelles.
Narrateur : « La fée marraine sans savoir quoi faire décide de partir chez cendrillon et se dirige à chercher le prince qui se trouve dans la fête »
 La fée blanche: Pourquoi est-ce que tu as laissé sortir à Cendrillon de la fête ?
Le prince parce qu’elle s’est mal habillée pour cette occasion si importante pour moi.  
 La fée blanche: Mais pourquoi tu es comme ça ? Je n’arrive pas à comprendre ta manière de voir les choses, c’est dommage voir que, pour toi, le plus important est l’apparence physique. Et les sentiments? Est-ce qu’ils ne sont pas signifiants pour toi ?
Le prince : tais-toi et sors d’ici.
La fée noire : oui  dégage d’ici.
 La fée blanche: mmm, je vous connais, je vous connais bien, tu es la personne qui est en train de finir la relation amoureuse entre le prince et Cendrillon, n’est-ce pas ?
La fée noire : pardon? De quoi tu parles?  
Narrateur : «La fée blanche qui aime bien la relation entre ces deux personnes donne un conseil au prince en remarquant l’amour qu’il sens par cendrillon»
La fée noire : tu dois aller chercher  cendrillon et parler avec elle parce que vraiment elle est une bonne femme.
Narrateur : « La fée blanche part de la fête pour aller chez Cendrillon Le prince, son ami et La fée noire restent dans la fête. »
La fée noire : Tu ne dois pas chercher à cendrillon, elle n’est pas la femme adéquate pour un homme comme toi.  Regardes-moi, je suis la femme la plus indiquée pour ta vie, Je suis très belle et je veux te faire plaisir dans tous tes désirs.
Le prince : Oh mon Dieu, qu’est-ce que je dois faire ?, je me sens perdu mon ami, qu’est-ce que tu me conseilles ?
L’amie du prince : Bien. je crois que tu dois aller chercher cendrillon, tu sais qu’elle est une bonne femme, tu l’aimes beaucoup et tes sentiments pour elles ne doivent pas changer à cause d’une autre femme qui veut seulement le pire pour toi, et qui te séduit pour que tu oublies à cendrillon. Vais la chercher, c’est ta seule  opportunité pour la récupérer.
La fée noire : non, je t’insiste,  ne la  cherches  pas, tu dois rester avec moi je t’aime mon amour, je serai ta femme pour toute la vie, je te le jure. Reste avec moi, je t’en prie.
Le prince : j’irais chez cendrillon, Je ne peux pas la perdre, je l’aime vraiment. Au revoir.
La fée noire : Non s’il vous plait, restez ici.
Narrateur : « Le prince  lui ignore et sens qu’il vraiment aime á  cendrillon pour cette raison il   sort de  la fête et se dirige chercher cendrillon »
Le prince : Bonjour madame, Sera-t-il possible de parler avec cendrillon ?
La mémé : Qu’est-ce que tu vous faite ici ? Vous ne vous rendez pas compte du mal que vous avez fait? Vous êtes un homme qui n’apprécie pas une bonne femme. Partez d’ici, elle ne veut pas vous voir. Cela lui fait du mal.

Le prince : non, je ne partirai pas, j’ai besoin de parler avec cendrillon.
La fée blanche: tu peux entrer prince, cendrillon t’espère, c’est ton opportunité pour l’écouter et savoir quel a été le problème, écoutes-la et après tu décideras quoi faire.
Cendrillon : Qu’est-ce que tu fais ici ?, je ne veux pas te voir, je suis déçue de toi. Pourquoi tu te comportes de cette façon avec moi, tu sais que je t’aime, tu es l’amour de ma vie. (Elle pleure).
Le prince : Excuse-moi, je ne sais pas pourquoi J’ai réagi de cette manière. Ma fée marraine m’a dit que tu n’es pas la femme de ma vie, pourtant je sais bien que je t’aime, tu es l’amour de ma vie, je ne veux pas te perdre.
Cendrillon : Je t’ai vu avec une autre femme dans la fête, tu faisais quoi avec elle?
Le prince : Quand tu es arrivée je t’ai regardé mal habillée tu n’étais pas la même femme qui j’ai regardé sur les photos, c’est la raison pour laquelle tu m’as vu en train de danser avec une autre femme.
La fée blanche: Mon cher prince, tu dois savoir que ta fée marraine est en train de détruire la relation que tu as avec cendrillon. Elle a été la personne qui a aidé à cendrillon avec les vêtements et elle a choisi pires vêtements  afin que tu la voies mal habillée.. De cette façon, ta fée marraine pouvait rester avec toi le reste de la vie.
Le prince : Oh mon Dieu, je ne peux pas le croire, elle ne voulait pas que nous étions ensembles, c’est pour cela que nous avons eu beaucoup de problèmes. J’irai  la laisser partir très loin  à ce moment. Et toi cendrillon, tu peux me pardonner ?
Cendrillon : Tu sais que je t’aime, je ne peux pas vivre sans toi, tu es la lumière de mes yeux.
La mémé : Je te le dis ma chère cendrillon, une solution viendra pour toi, tu mérites d’être heureuse, il est l’homme de ta vie, c’était un malentendu à cause d’une mauvaise femme qui voulait seulement ta faire souffrir.
La fée blanche: Ma chère, donne-lui le portable à cendrillon pour que tu le montres que tu l’aimes.
Narrateur : « Cendrillon et le prince sortent pour aller très loin et La fée noire apparaît. »
La fée noire : Mon amour tu ne peux pas me laisser, retourne dans mes bras, je t’aime. Je ne pourrais pas vivre sans toi. (Elle pleure)
La fée blanche: Laissez-les partir, ils méritent d’être heureux, tu ne peux pas l’empêcher, tu dois reconnaître que tu as commis une erreur. C’est mieux que tu partes.
La mémé : Je vais te remercier pour l’aide que tu as donné à ma chérie cendrillon, tu es une personne très gentille, j’espère que cendrillon soit très heureuse avec le prince.
Narrateur : La fée noire qui pensait que le prince allait rester avec elle pendant toute sa vie se rend compte que c’était un amour impossible. C’est pour cela qu’elle prend comme décision de s’éloigner de la vie  du prince et de la vie de cendrillon en disant :
La fée noire : Mon prince, je pars mais je vais retourner, je viendrais un jour pour toi.
Narrateur : « Cendrillon et le prince déménagent au centre de la vie, ils se marient et 2 ans après ils ont leur premier fils appelé  Antoine de la Roque. »












jueves, 9 de junio de 2016

Poème de l'examen: Vous-êtes qui ?

  

              Vous-êtes qui ?
             
 

 Je veux savoir si vous êtes  mon Dieu,
 Vous êtes comme un protecteur,
Vous qui nous éclaire avec votre splendeur,
Toujours  au ciel comme le rossignol.

Vous êtes si grandiose  et  puissant,
Qui est présent dans plusieurs lieux en même temps,
Sans aucune exception,  ni pour les  hommes ni les femmes,
Vous nous embrassez tous  également.

Vous vous réveillez toujours pendant le matin,
Et vous nous protégez tout le temps  du froid,
 Vous nous indiquez l’orient et l’occident,
Avec vos rayons, aussi nécessaires que le parfum.



Par : ORTIZ Leney

Example d'un script

MA SOLITUDE NOIRE



Personnages : Le soldat : Gever Barroso
                          La conscience : Leney Ortiz
                          Le narrateur : Darcy Pacheco





« Un soldant se trouve dans sa tente militaire  en réfléchissant à propos de son mariage. Il allume une cigarette et des larmes lissent de ses yeux »
 Soldat : Ça fait trois moins que ma femme ne réponds pas mes lettres. Je ne sais rien delle, cette guerre puissante détruit les âmes des hommes sauvages qui offrent leurs vies au capitaine qui ordonne tuer, tuer, tuer.
« Une voix s’écoute au loin, en disant »
La conscience: les âmes des hommes ou lame impure de ta femme ?
Soldat : Des cauchemars retombent ma tête au loin j’écoute les bombes qui tombent sur des petites cabanes et les cris des enfants inondent le village après voir les morceaux de morts dans la rue, Quel enfer.
La conscience: Enfer ? Enfer c’est ça que tu vivre avec ta femme, cette maudite brute qui est toujours en train de profiter sa vie avec des différents hommes qui sont séduits par sa beauté.


Soldat : Noooo. Maintenant, ma mort sera un gros sur ton cœur.

Compte.LE SOLEIL ET SON AMI LE COQ


LE  SOLEIL ET SON AMI LE COQ



Il y a  longtemps, le soleil se levait seul, tous les  matins. Il se levait afin de  contempler le monde dans toute sa beauté. Il apportait la lumière, la chaleur et la joie à son apparition. Un jour, dans une basse-cour, un œuf de poule roula hors de son nid et tomba dans un trou, loin du regard de sa mère. Lorsqu’à son lever le soleil  lui a remarqué et  lui souffla délicatement afin de lui assurer chaleur et protection.
L’œuf éclot à l’aube d’une journée d’été et chanta en reconnaissant son astre protecteur. Depuis ce jour, jusqu’à ce qu’il devienne le plus beau des coqs, il chantait aux premières lueurs du jour pour fêter son arrivée, son plumage était un panaché de roux, rouge et jaune, sa voix puissante s’entendait de loin et annonçait au monde l’heure de se lever.
Les prétendantes étaient nombreuses à chercher son attention et son étoile (notre soleil), jalouse, commença à craindre de se coucher de peur de perdre de vue le seul être qui chantait son arrivée, le seul qui, depuis l'éternité, lui faisait honneur chaque jour. Dès ce moment-là le soleil se levait avec son ami le coq tous les matins.



Poème d’amitié, par ORTIZ leney

L’amitié

Près ou loin, tu resteras toujours
graver dans mon cœur,
tu es un ami et tu le seras toujours!


toi et moi sommes comme
les yeux dans le visage
on ne se voit jamais mais

on reste toujours  ensemble

aussi belle qu'une rose,
aussi fraîche qu'une fleur de jardin,
aussi douce que la soie et le satin,
je vous dit mon bonjour du matin